Un sixième volet autour du thème du développement durable et de l’univers visuel rétro-futuriste (images trouvées dans d’anciennes revues d’actualités et autres livres pour la jeunesse) mais abordant le sujet controversé du «Green Washing»; pratique commerciale visant à s’attribuer des vertus et des exigences éco-responsables alors que la réalité est à l’opposé.
Le rythme musical énergique, tiré de l’œuvre «La fiancée vendue» de Smetana, est cassé par l’insertion d’une - fausse - annonce (allusion aux systèmes publicitaires sur les plateformes de visionnage de vidéos).

Dans l’esprit des 4 précédentes (thème et imageries), la nouvelle animation de la série est une ode à la nature qui «colore» la morosité des villes et de ceux qui y vivent.
Les visuels ont été trouvés dans différentes sources: un manuel de conduite automobile, des images d’Epinal, des anciennes gravures et publications pour enfants,…) avec parfois des éléments recréés (caméra vidéo, personnages,…) et le rythme est donné par une musique rapide et énergique: la Tritsch-Tratsh-Polka de Johann Strauss II (1825-1899).

Inspiré de la plus vieille histoire du monde et parodiant un tutoriel vidéo sur un style rétro-futuriste, cette quatrième animation pose une question – grave, fondamentale mais qui reste en suspens – «est-ce que l’humanité mérite d’être sauvée?».
L’iconographie provient en grande partie d’une ancienne méthode d’apprentissage de dessin et l’habillage musical est un air baroque du compositeur Rameau (1702-1766).

Rythmée par toujours plus d’effets visuels, l’histoire de ce troisième épisode de la série raconte les étapes de la vie d’une éponge. Le message, délivré à la fin, souligne l’importance de toutes choses – même les plus petites – qui contribuent à prendre soin de la planète.
Principalement reprise d’un ancien manuel de médecine douce, l’imagerie est accompagnée par une musique «recyclée» elle aussi: le chœur à bouche fermée de Madame Butterfly.

Nouvelle réalisation autour du thème de la protection de l’environnement.Cette fois-ci les visuels, tirés d’une encyclopédie de 1900, illustrent un parcours dans un décors de paradis (perdu). La technique varie entre images noires-blanches et couleurs ainsi que de la vidéo.
L’habillage sonore est du compositeur Gabriel Fauré (1845-1924).

Film d’animation en motion design, cette vidéo présente, en 7 minutes et au travers de 10 thèmes (= 10 segments structurés de manière identique), des conseils de «bonne conduite» afin de protéger la planète dans un soucis de développement durable.
La musique est l’œuvre de l’artiste «Lagartijeando» et les images proviennent pour la plupart d’une ancienne encyclopédie.

Un exemple parmi d’autres* d’une carte de vœux électronique réalisée pour une société financière (avec un corporate et une thématique imposés).
Conçu exclusivement en technique Html/javascript et transmis avec un mot d’accompagnement, le lien est envoyé à une mailing liste de clients.
*voir divers exemples dans la rubrique «animation» du site www.ije-design.com

Faite avec Animate CC, cette carte de vœux pour l’année 2017 utilise une grande partie des possibilités d’animations du programme (bouton qui enclenche l’action, décomposition images par images, interpolation de formes et mouvements, dézoomage, etc.).
Le personnage est repris du site www.stop-10.com.

Réalisé grâce à un code très simple (et notamment en utilisant une action en survol d’un élément), le lien vers cette courte animation est envoyé par e-mail – au moment des vœux – durant le passage de 2012 à 2013.
Le programme utilisé est Adobe Edge (l’ancêtre de Animate CC).